Encore et toujours des ennuis de connexion,décalage horaire d'une courte escapade et voila il n'en faut pas plus pour qu'il n'y ait pas de photo de la semaine
Alors voila avec un certain décalage la vidéo de la semaine
et quelques photos
de mon escapade
Je suis encore toute étonnée de la dextérité de cet homme
à étirer la pâte pour la confection des paranthas.
Je l'ai observé longuement derrière la vitre puis à son invite je suis entrée
J'ai déjà préparé le ghee je pense que je ne vais pas tarder à me lancer
Vais-je arriver à cette finesse ?
Avant je vais aller tenter de rattraper mon retard sur la blogosphère!
dimanche 28 avril 2013
lundi 22 avril 2013
ALORS CET OUTIL?
Je n'allais pas rester avec mes interrogations concernant cet outil
Il me semblait que la semaine passée j'avais pris en photo le nom du fabriquant mais le surnom d' Aloïs ne m'a pas été attribué pour rien et que nenni ,point de photo où apparaissait le nom du fabriquant.
Aussi dimanche en fin de journée je retournais à Courances .
Oh je ne me suis pas beaucoup forcée malgré une lumière un peu blanche je suis restée près de trois heures dans le parc
Cet outil
est une tondeuse à flexible modèle Messidor
fabriquée par les établissements Bariquand et Marre à Paris .
L'homme d'Oxygène avait bien remarqué le peigne et avait donc trouvé la solution optant pour une tondeuse à chevaux.
Je ne sais pourquoi je songeais à la tonte des moutons .Je pense que cette affiche mettra tout le monde d'accord.
Des nouvelles de Courances dont la végétation a su profiter des belles journées de cette semaine
Mes amoureuses de la semaine passée se sont un peu étoffées
le magnolia ne nous charmera plus très longtemps hélas,
arbustes
et fleurs
se montreront bientôt sous leurs plus beaux atours.
Un tableau que Monet aurait peut-être peint
Je ne sais pourquoi j'emprunte toujours le même chemin, au moment où je m'engageais à l'arrière de la foulerie le soleil avait décidé de jouer à cache cache alors en attendant j'essayais de lire dans les boules de cristal
et j'y vis des arbres!
Ah le soleil est de retour aussi je reviens sur mes pas
Je décide d'aller voir si la Baigneuse
a pris une teinte dorée l'a foulerie à l'aller
et au retour
Entre les deux mon coeur balance
Oups déjà vingt heures il faudrait peut-être songer reprendre le chemin de la maison
encore quelques photos
jusqu'à la sortie du parc j'enrage enfin le couleur dorée apparaît
Il me semblait que la semaine passée j'avais pris en photo le nom du fabriquant mais le surnom d' Aloïs ne m'a pas été attribué pour rien et que nenni ,point de photo où apparaissait le nom du fabriquant.
Aussi dimanche en fin de journée je retournais à Courances .
Oh je ne me suis pas beaucoup forcée malgré une lumière un peu blanche je suis restée près de trois heures dans le parc
Cet outil
est une tondeuse à flexible modèle Messidor
fabriquée par les établissements Bariquand et Marre à Paris .
L'homme d'Oxygène avait bien remarqué le peigne et avait donc trouvé la solution optant pour une tondeuse à chevaux.
Je ne sais pourquoi je songeais à la tonte des moutons .Je pense que cette affiche mettra tout le monde d'accord.
Des nouvelles de Courances dont la végétation a su profiter des belles journées de cette semaine
Mes amoureuses de la semaine passée se sont un peu étoffées
le magnolia ne nous charmera plus très longtemps hélas,
arbustes
et fleurs
se montreront bientôt sous leurs plus beaux atours.
Un tableau que Monet aurait peut-être peint
Je ne sais pourquoi j'emprunte toujours le même chemin, au moment où je m'engageais à l'arrière de la foulerie le soleil avait décidé de jouer à cache cache alors en attendant j'essayais de lire dans les boules de cristal
et j'y vis des arbres!
Ah le soleil est de retour aussi je reviens sur mes pas
Je décide d'aller voir si la Baigneuse
a pris une teinte dorée l'a foulerie à l'aller
et au retour
Entre les deux mon coeur balance
Oups déjà vingt heures il faudrait peut-être songer reprendre le chemin de la maison
encore quelques photos
jusqu'à la sortie du parc j'enrage enfin le couleur dorée apparaît
samedi 20 avril 2013
UN JOUR DE PRINTEMPS UN VRAI
Nous l'attendions depuis longtemps et enfin il est arrivé même si depuis un jour ou deux les températures sont un peu plus fraîches au moins les journées sont baignées de soleil.
Dimanche dernier fut notre première journée ensoleillée
Un dimanche !Je pensais à la chanson de Cloclo Le lundi au soleil, mais oui même moi ,je connais quelques classiques de la variété française ,bien que je préfère ceux de Jean Sébastien , Joseph ou Frédéric à ceux de Cloclo.
Cloclo qui dort tout près d'ici à Dannemois,et de Dannemois il n'y avait qu'un saut ,mes pensées en cascade faisaient miroiter ,sans jeu de mots, une balade à Courances en fin de journée .
Je dis sans jeux de mots car la pièce d'eau qui se trouve derrière le château se nomme le miroir
J'arrivais en toute fin de journée à Courances juste avant la fermeture des caisses,le parc restant ouvert jusqu'à la tombée de la nuit .
La végétation étant très en retard
j'ai pu fureter
et emprunter certains "chemins" qui bien souvent sont inaccessibles habités par fougères et autres plantes
autour du jardin japonais .
J'y ai découvert des anciens bâtiments que les propriétaires sont entrain de restaurer,comme l'ancien moulin,j'avais un peu l'impression d'être dans la cour d'un brocanteur
sans aucune mise en scène des objets délaissés ,oubliés peut-être ,mais aussi les dahlias
qui attendent que la terre se soit un peu réchauffée et qui feront les beaux jours des plates-bandes de Courances .
Dans un des bâtiments j'ai découvert cet outil.
J'ai une petite idée quant à son utilité mais je n'en suis pas certaine je n'ai pas osé interroger un des maîtres de cette propriété.
Et vous ,avez-vous une petite idée?
Au fur et à mesure que je déambulais dans le parc je songeais à Ernest de Ganay qui a vécu dans ce château .Il n'était pas que châtelain il était aussi un poète ,un poète de la mouvance post-symbolique,comme Henri de Régnier dont j'aime tant les écrits à ce sujet un portrait de Henri de Régnier vient d'être publié :Monsieur Spleen ,mouvance de Robert de Montesquiou que Henri de Régnier combattit en duel!!
Son diplôme de l'Ecole du Louvre sur les jardins anglais au XVIII éme en poche Ernest de Ganay a voué une grande partie de sa vie aux jardins
Il écrivait Courance sans "s"je pense car l'eau court à Courances
Dimanche dernier fut notre première journée ensoleillée
Un dimanche !Je pensais à la chanson de Cloclo Le lundi au soleil, mais oui même moi ,je connais quelques classiques de la variété française ,bien que je préfère ceux de Jean Sébastien , Joseph ou Frédéric à ceux de Cloclo.
Cloclo qui dort tout près d'ici à Dannemois,et de Dannemois il n'y avait qu'un saut ,mes pensées en cascade faisaient miroiter ,sans jeu de mots, une balade à Courances en fin de journée .
Je dis sans jeux de mots car la pièce d'eau qui se trouve derrière le château se nomme le miroir
J'arrivais en toute fin de journée à Courances juste avant la fermeture des caisses,le parc restant ouvert jusqu'à la tombée de la nuit .
La végétation étant très en retard
j'ai pu fureter
et emprunter certains "chemins" qui bien souvent sont inaccessibles habités par fougères et autres plantes
autour du jardin japonais .
sans aucune mise en scène des objets délaissés ,oubliés peut-être ,mais aussi les dahlias
qui attendent que la terre se soit un peu réchauffée et qui feront les beaux jours des plates-bandes de Courances .
Dans un des bâtiments j'ai découvert cet outil.
J'ai une petite idée quant à son utilité mais je n'en suis pas certaine je n'ai pas osé interroger un des maîtres de cette propriété.
Et vous ,avez-vous une petite idée?
Au fur et à mesure que je déambulais dans le parc je songeais à Ernest de Ganay qui a vécu dans ce château .Il n'était pas que châtelain il était aussi un poète ,un poète de la mouvance post-symbolique,comme Henri de Régnier dont j'aime tant les écrits à ce sujet un portrait de Henri de Régnier vient d'être publié :Monsieur Spleen ,mouvance de Robert de Montesquiou que Henri de Régnier combattit en duel!!
Son diplôme de l'Ecole du Louvre sur les jardins anglais au XVIII éme en poche Ernest de Ganay a voué une grande partie de sa vie aux jardins
Il écrivait Courance sans "s"je pense car l'eau court à Courances
Que d'autres aient recours au multiple artifice
Des parterres sans fin, des fleurs et des jeux d'eau,
De tous les dieux rangés autour de l'édifice,
Des vases et des buits alignés au cordeau.
Des parterres sans fin, des fleurs et des jeux d'eau,
De tous les dieux rangés autour de l'édifice,
Des vases et des buits alignés au cordeau.
Que d'autres aient besoin de la flore et des marbres,
Toi, tu n'as demandé, Courance, pour ta part,
Que le secret accord des gazons et des arbres
Toi, tu n'as demandé, Courance, pour ta part,
Que le secret accord des gazons et des arbres
Et des bassins réglés le simple et le seul art.
Que de sources en toi s'assemblent et s'unissent
Pour former tes chansons
et pour remplir sous l'arc
De la verte futaie un Canal où frémissent
Tant de sensibles eaux ! Gagnons le fond du parc…
Dans sa pierre vieillie et dans sa brique rose
Au fond du Tapis-Vert de hauts arbres bordé,
Tranquille tout au loin la demeure repose
Tandis que le Rond-d'Eau reflète sa beauté ;
Au fond du Tapis-Vert de hauts arbres bordé,
Tranquille tout au loin la demeure repose
Tandis que le Rond-d'Eau reflète sa beauté ;
C'est au pied de l'Hercule, oui, c'est ici, Courance,
Au fond de ton beau parc qu'il convient d'attester
Pour nous ce que peut être un fier château de France
Et tout ce qu'en nos coeurs il sait faire chanter !
Au fond de ton beau parc qu'il convient d'attester
Pour nous ce que peut être un fier château de France
Et tout ce qu'en nos coeurs il sait faire chanter !
Une exquise fin de journée qui s'est conclue par le premier dîner au jardin,une simple salade printanière de betterave et fenouil passés à la mandoline parsemés de pamplemousse pour la légère amertume et parmesan, arrosés d'une huile d'olive au fenouil sauvage pour révéler le fenouil, et de vinaigre de figue pour rehausser le sucré de la betterave .
Ce sera ma participation à la rubrique d'Amartia
samedi 13 avril 2013
PAS DE TEMPS
Cette semaine ni pour les photos ni pour les blogs.Je vais essayer dimanche de rattraper mon retard allongée dans une chilienne à l'ombre du puits puisqu'ils nous annoncent enfin le printemps ,et soyons fous presque l'été 25 degrés.....
Pourvu que lundi nous devions pas rechausser les après ski après tant de générosité
En avant première une photo de mode
que vous pourrez voir dans une revue quelconque prise avec mon smartphone cette semaine ,qui vient s'ajouter à ma série "chasse-roue",celle-ci aura une annotation revue et corrigée car ce chasse roue du 54 de la rue de Seine est depuis longtemps dans ma collection.
Lorsque je me rends de chez nous à l'antre de mon libraire préféré je longe la Seine jusqu'à l'Institut puis j’emprunte la rue de Seine ,rejoins la cour du commerce-Saint-André en espérant toujours que la cour de Rohan qui doit son nom à l'Hôtel des Evêques de Rouen sera ouverte .
Ce jour là justement les portes n'étaient pas fermées
Voici une enfilade de chasse-roue offerte par cette cour .
Cette cour s'ouvre sur la cour du commerce depuis 1791,trois courettes successives séparées par des grilles .Ce passage est entouré de hauts-logis du XVII ème restés intacts.
Un fragment de l'enceinte de Philippe Auguste dans la première cour,dans la seconde ceci
,qui sera ma devinette.
Connaissez-vous son nom et son utilisation?
C'est dans cette cour que l'écrivain Georges Bataille vécut pendant la guerre ,dans l'ancien Hôtel des Évêques de Rouen qui successivement devint une belle maison Renaissance puis aujourd'hui un bâtiment XVII ème.
Dans la troisième un vieux puits que je vous montrerai une autre fois ,on arrive ensuite dans la rue du Jardinet ,ou de Champ-Petit ou de l’Écureuil ou de l'Evêque de Rouen
Elle doit aujourd'hui son nom au jardin dépendant de l'hôtel des archevêques de Reims qui la borde d'un côté .
C'est là que naquit Camille Saint Saëns
Ce sera ma contribution à
Pourvu que lundi nous devions pas rechausser les après ski après tant de générosité
En avant première une photo de mode
que vous pourrez voir dans une revue quelconque prise avec mon smartphone cette semaine ,qui vient s'ajouter à ma série "chasse-roue",celle-ci aura une annotation revue et corrigée car ce chasse roue du 54 de la rue de Seine est depuis longtemps dans ma collection.
Lorsque je me rends de chez nous à l'antre de mon libraire préféré je longe la Seine jusqu'à l'Institut puis j’emprunte la rue de Seine ,rejoins la cour du commerce-Saint-André en espérant toujours que la cour de Rohan qui doit son nom à l'Hôtel des Evêques de Rouen sera ouverte .
Ce jour là justement les portes n'étaient pas fermées
Voici une enfilade de chasse-roue offerte par cette cour .
Cette cour s'ouvre sur la cour du commerce depuis 1791,trois courettes successives séparées par des grilles .Ce passage est entouré de hauts-logis du XVII ème restés intacts.
Un fragment de l'enceinte de Philippe Auguste dans la première cour,dans la seconde ceci
,qui sera ma devinette.
Connaissez-vous son nom et son utilisation?
C'est dans cette cour que l'écrivain Georges Bataille vécut pendant la guerre ,dans l'ancien Hôtel des Évêques de Rouen qui successivement devint une belle maison Renaissance puis aujourd'hui un bâtiment XVII ème.
Dans la troisième un vieux puits que je vous montrerai une autre fois ,on arrive ensuite dans la rue du Jardinet ,ou de Champ-Petit ou de l’Écureuil ou de l'Evêque de Rouen
Elle doit aujourd'hui son nom au jardin dépendant de l'hôtel des archevêques de Reims qui la borde d'un côté .
C'est là que naquit Camille Saint Saëns
Ce sera ma contribution à
Une idée d'Amartia
lundi 8 avril 2013
PROMENADE PARISIENNE
Une journée entière rien qu'à soi.
Cela faisait fort longtemps que je n'en avais pas eu l'occasion.Nous nous étions donné rendez-vous avec une amie devant le musée Maillol à l'ouverture afin de voir l'exposition consacrée à Murano,
Quelques photos volées
grâce à mon téléphone portable ,alors que les photos sont interdites je voyais tout le monde "mitrailler" à l'aide de son téléphone portable,alors pourquoi pas moi,à part que la seule qui se soit fait prendre....suivez mon regard .
Comme me disent mes fils "maman tu es tellement honnête que lorsque tu triches cela se voit comme le nez au milieu de la figure"
Sur fond de lustre Rezzonico les "coco-fesses" de Marie-Laure Viébel (ex Marie Laure de Villepin) et une magnifique coupe dont je l'avoue j'ai oublié la provenance .
Un petit coup de bus 69 et nous voila rue de la Roquette afin de jeter un oeil sur la manufacture de chocolat de Ducasse
Ses pralinés sont à se damner ,des pralinés à l'ancienne ,noir-noisette éclats,noir-noisette et amandes fondantes,noir-amandes éclats....des ganaches gourmandes cassis,framboise,thé et citron,tonka....et des ganaches origines
Java,Madagascar,Trinidad....
J'ai acheté deux plaques de chocolat Papouasie Nouvelle Guinée et Sao Tomé je ne les ai pas encore entamées je sais qu'une à des accents d'anis et banane l'autre des côtés plutôt boisés.
En sortant nous jetons un oeil sur la cour Damoye
pas d'effluves de café aujourd'hui et il faudra attendre pour voir fleurir glycines et autres arbustes étant donné le printemps de cette année....
Antoine Pierre Damoye quincailler parisien avait acheté cet emplacement en 1778 c'était une maison et un jardin où les arquebusiers de Paris venaient s'entraîner .
Par sa forme la cour Damoye est un peu l'ancêtre des passages couverts parisiens .Damoye fit une opération immobilière il faut dire qu'il fut bien aidé par l'ouverture de la rue Daval en 1780,la majorité des immeubles de la cour datent de cette époque
Mon Dieu déjà quatorze heures il faudrait peut-être songer à se restaurer bon sans avoir réservé abandonnons l'idée du brunch ,mon amie suggère
Elle est mince comme un fil elle peut se permettre ce genre de déjeuner,moi....c'est un peu plus risqué
L'âme des lieux a décidé de ne plus proposer ses gâteaux à la vente si ce n'est sur commande ,ce jour là au salon de thé on pouvait aussi se régaler de sa tarte au citron ou de son Saint Honoré
Bien on va peut être laisser notre place à la dizaine de personnes qui attendent cela fait deux heures que nous refaisons le monde.
Pas question de prendre le bus du moins en ce qui me concerne c'est à pied que je rentrerai en remontant la rue de Turenne
et en croquant comme j'aime le faire , tiens une mariée vue
depuis le pont de l’Archevêché, aux abords de Notre- Dame de la musique titille mon oreille
Je vais rester
à les écouter
jouer
et chanter
mes yeux coulent prendre des photos devient difficile encore une
ou deux et ce sera tout pour aujourd'hui
Il est tout de même dix neuf heures je peux songer à rentrer
Cela faisait fort longtemps que je n'en avais pas eu l'occasion.Nous nous étions donné rendez-vous avec une amie devant le musée Maillol à l'ouverture afin de voir l'exposition consacrée à Murano,
Quelques photos volées
grâce à mon téléphone portable ,alors que les photos sont interdites je voyais tout le monde "mitrailler" à l'aide de son téléphone portable,alors pourquoi pas moi,à part que la seule qui se soit fait prendre....suivez mon regard .
Comme me disent mes fils "maman tu es tellement honnête que lorsque tu triches cela se voit comme le nez au milieu de la figure"
Sur fond de lustre Rezzonico les "coco-fesses" de Marie-Laure Viébel (ex Marie Laure de Villepin) et une magnifique coupe dont je l'avoue j'ai oublié la provenance .
Un petit coup de bus 69 et nous voila rue de la Roquette afin de jeter un oeil sur la manufacture de chocolat de Ducasse
Ses pralinés sont à se damner ,des pralinés à l'ancienne ,noir-noisette éclats,noir-noisette et amandes fondantes,noir-amandes éclats....des ganaches gourmandes cassis,framboise,thé et citron,tonka....et des ganaches origines
Java,Madagascar,Trinidad....
J'ai acheté deux plaques de chocolat Papouasie Nouvelle Guinée et Sao Tomé je ne les ai pas encore entamées je sais qu'une à des accents d'anis et banane l'autre des côtés plutôt boisés.
En sortant nous jetons un oeil sur la cour Damoye
pas d'effluves de café aujourd'hui et il faudra attendre pour voir fleurir glycines et autres arbustes étant donné le printemps de cette année....
Antoine Pierre Damoye quincailler parisien avait acheté cet emplacement en 1778 c'était une maison et un jardin où les arquebusiers de Paris venaient s'entraîner .
Par sa forme la cour Damoye est un peu l'ancêtre des passages couverts parisiens .Damoye fit une opération immobilière il faut dire qu'il fut bien aidé par l'ouverture de la rue Daval en 1780,la majorité des immeubles de la cour datent de cette époque
(Source Paris secret et insolite )
Mon Dieu déjà quatorze heures il faudrait peut-être songer à se restaurer bon sans avoir réservé abandonnons l'idée du brunch ,mon amie suggère
Elle est mince comme un fil elle peut se permettre ce genre de déjeuner,moi....c'est un peu plus risqué
L'âme des lieux a décidé de ne plus proposer ses gâteaux à la vente si ce n'est sur commande ,ce jour là au salon de thé on pouvait aussi se régaler de sa tarte au citron ou de son Saint Honoré
Bien on va peut être laisser notre place à la dizaine de personnes qui attendent cela fait deux heures que nous refaisons le monde.
Pas question de prendre le bus du moins en ce qui me concerne c'est à pied que je rentrerai en remontant la rue de Turenne
et en croquant comme j'aime le faire , tiens une mariée vue
depuis le pont de l’Archevêché, aux abords de Notre- Dame de la musique titille mon oreille
Je vais rester
à les écouter
jouer
et chanter
sur le parvis ,il fait froid,les cheveux dans le vent comme ceux du pianiste , mais hélas le soleil ne me trace pas la route
mes yeux coulent prendre des photos devient difficile encore une
ou deux et ce sera tout pour aujourd'hui
Il est tout de même dix neuf heures je peux songer à rentrer
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