J'ai levé la tête pour vous au point d'en avoir mal aux cervicales.
Je plaisante vous me connaissez c'est pour mon plus grand bonheur que j'ai levé la tête et écarquillé les yeux.
Hélas je n'ai pas trouvé beaucoup d'explications à ce qui suit.
Je pense avoir reconnu des singes qui dans l'iconographie chrétienne sont perçus de façon très négative,ils apparaissent comme une caricature de l'homme et comme le symbole de la vanité.
Saint Martin qui doit faire face à sainte-Fare, patrons des lieux,mais je l'avoue je n'ai pas repéré sainte Fare,un monstre qui certainement représente les forces du mal
Quelques statues,entre autres, saint Martin et sainte Fare
Mais ce sont surtout les miséricordes qui m'ont attirée.Ornant les cinquante-quatre stalles.
Cet endroit où ici les chanoines se tenaient pour chanter l'office ,debout,ces miséricordes leur servaient à s'appuyer discrètement.
Elles ont été sculptées par Richard Falaize.Elles illustrent des proverbes,des jeux de mots ou des saisons.
Certaines illustrent le livre de Job.D'autres ,très difficiles à interpréter
Je pourrais continuer ainsi longtemps avec "Champeaux Supplément","Champeaux ceci","Champeaux cela",tant il y a de détails dans cette collégiale qui semble pourtant vide au premier coup d'oeil
Elles sont superbes ces méséricordes et la collégiale offre des trésors que tu as su parfaitement nous dévoiler! Merci pour cette très belle visite !
RépondreSupprimerBonne soirée dans les Vosges
Un régal ces photos, ce lieu est vraiment très beau... les miséricordes,( merci Françoise tu as rafraichi ma mémoire,j'avais oublié ce nom) qui m'avaient tout de suite attirée dans ta première série de photos sont de toute beauté...
RépondreSupprimerEnitram et Catherine,j'ai rarement vu des miséricordes en aussi bon état,très peu sont abîmées
RépondreSupprimerBonne journée
les sculptures en bois sont impressionnantes,merci pour cette fin de visite,Francoise!
RépondreSupprimerEffectivement je vois des petits singes ce qui me semble rare...
RépondreSupprimerToutes ces prises de vues sont magnifiques, tu as profité encore de la luminosité du lieu.
Beau reportage, des statues et des sculptures sur bois de toute beauté.
Bonne journée
Danielle
J'aime quand le passé vient à nous avec des scènes de tous les jours entremêlées de symboles. C'est comme si les hommes du passé nous murmuraient à l'oreille et qu'en posant mes mains sur leurs œuvres je pouvais toucher les leurs.
RépondreSupprimerMarisol
Annesophie il faut savoir s'arrêter un jour...J'aurais pu ajouter encore encore des photos de toutes ces sculptures.
RépondreSupprimerJe pense moi aussi que ce sont des singes je n'ai rien trouvé à ce sujet Danielle,et dans cette collégiale,même si le soleil n'est pas présent la clarté est extraordinaire
Marisol il ne vaut mieux pas que je commence à essayer de traduire toutes ces miséricordes je suis capable d'y prendre goût,ici les hommes du passé nous ont laissé un bel héritage d'autant que Falaize était huchier c'est à dire simple menuisier
Bonne journée à vous
Superbes photos :) J'étais il y a quelques jours dans l'église de Moncontour...tu la connais ?
RépondreSupprimerSaint Mathurin de Moncontour?
RépondreSupprimerNon hélas je ne connais pas .
Je suis mariée à un terrien!!
Mais je ne désespère pas.
Il suffit que la petite balle .....
Chic vraiment tu es charmant ,cette fois je ne vais pas faire d'impair ta maman et ton papa t'ont bien élevé.
Je veux dire tout simplement que ce que tu nous montres est superbe et que je me sens toute petite.
Bonne soirée à toi Chic
Toujours merveilleux tes billets
RépondreSupprimerBon week-end
Ce que j'aime particulièrement dans la photo c'est le regard très personnel de la (ou du) photographe, enfin...chacun son coup d'oeil...et j'aime beaucoup le tien :)
RépondreSupprimerMerci Chic je comprends très bien ce que tu veux dire
RépondreSupprimerquelle superbe collection de miséricordes... elle est belle dis-moi la collégiale de Champeaux... belle promenade l'oeil au vent ! et pour nous une visite détaillée de qualité
RépondreSupprimerMichelaise très belles miséricordes et bien conservées.
RépondreSupprimerLe vent tu ne crois pas si bien dire